Nous sommes donc passés dans l’Atlantique sud, avec l’inévitable choix : gérer l’anticyclone de Ste Hélène.
Je ne vous ferai pas de cours de météo ni de navigation, mais on voit clairement dans cette phase de la course que des approches se sont différenciées.
Certains nous ont presque fait peur en longeant les côtes de l’Afrique, pendant quelque temps…
D’autres tracent une ligne droite d’un point à un autre… Voire en tenant compte de l’orthodromie.
Certains courent après le vent avant tout…
D’autres encore se sont lancés dans un contournement aux effluves brésiliennes…